Moramour a privilégié l’éducation scolaire des enfants jugée la priorité des priorités. Elle a donc géré et financé la reconstruction d’un bâtiment à trois salles de classes, acheté du matériel scolaire. Ceci était une action d’urgence, curative.
On ne peut assurer une scolarité décente aux enfants sans penser à leur condition d’existence minimum.
S’investir dans l’éducation d’enfants qui vont mourir du paludisme n’a pas de sens :
Moramour a donc entrepris une action d’aide médicale en faisant don de médicaments aux plus pauvres par l’intermédiaire du dispensaire.
S’investir dans l’éducation d’enfants dont la préoccupation première est de ne pas mourir de faim n’a pas de sens. Mourir de malnutrition est inacceptable :
Moramour va donc trouver les moyens pour nourrir convenablement les enfants du village.
Les parents paient la scolarité de leurs enfants. Cela représente souvent une charge financière insurmontable :
Moramour a donc fait le choix de s’attaquer au problème de la pauvreté.
Nos principes fondamentaux:
1er principe: Bénévolat total.
Pas de « vacances humanitaires » au frais des adhérents comme on le voit si souvent !
2ième principe: Pas d’assistanat.
Les habitants de Bondoukuy participent à l’élaboration et la réalisation des projets. Tous les projets réalisés ou en cours sont de l’initiative concertée des différentes associations, autorités tribales, morales (les anciens), administratives (le préfet) et religieuses (l’imam, le chef des griots) du village.
3ième principe: Transparence des comptes.
Les comptes sont disponible sur simple demande.